Archives des tags : Lien

On mérite tous d’être aimés, valorisés et respectés

10 juillet 2017

0 Commentaire

1680329_redimensionnerJ’affirme que dans la vie, on mérite d’être aimé(e), valorisé(e) et respecté(e), et je ne suis pas pour autant égoïste ni prétentieuse.

Je veux que mon âme rie et que mon cœur se sente bien d’avoir trouvé sa place dans ce monde.

Nous dire ces mots à nous-même et à voix haute n’est pas un acte de folie, et encore moins d’orgueil. Déclarer et nous convaincre que l’on mérite d’être aimé est quelque chose d’enrichissant.

Le fait d’être respecté et valoriser n’est pas un privilège, c’est un droit fondamental que nous avons tous.

Qui mérite d’être aimé doit aussi avoir la capacité d’aimer, de reconnaître l’autre comme partie de lui-même. C’est un acte de liberté et d’expression personnelle qui nous grandit, et que nous méritons tous d’expérimenter.

Nous méritons tous d’être chéris par les nôtres, en commençant par la famille, les amis et sans aucun doute un conjoint qui soit capable de nous donner un amour conscient, mature et avec de la réciprocité.

Il n’y a rien de plus digne et il n’y a pas d’autres principes plus basiques pour l’être humain que d’être aimé, valorisé et respecté. Nous vous invitons à réfléchir à cela.

Sur mon chemin personnel, je mérite des lumières, pas des tempêtes

Qui vous apporte des tempêtes et des journées d’hiver ne sait pas aimer, ni ne s’apprécie pas soi-même totalement.

Qui apporte du chagrin, de l’indifférence et des carences affectives est un artisan du malheur, et personne ne mérite d’être traité ainsi. Personne ne devrait expérimenter le vide de ne pas se sentir aimé, ni reconnu.

L’amour qui reconnaît et qui valorise l’enfant, le couple ou l’ami nous offre des racines pour grandir.

L’amour propre est, sans aucun doute, un pilier essentiel, mais puisque nous vivons dans des contextes sociaux et que nous avons besoin de construire des liens déterminés, il est également primordial de se souvenir de ces dimensions :

* L’amour propre est celui qui nous dit comment on mérite d’être aimé : vous voulez un amour sans larmes, avec des mots sincères et non pas avec de l’ironie. Vous voulez de la proximité et de la complicité, pas de la manipulation ni un amour prisonnier de la souffrance.

* C’est l’amour propre qui nous dit que nous méritons le respect. Personne ne doit vous discriminer, ni vous ni vos paroles, car vous savez que les mots qui offensent et qui mentent font du mal. Vous évitez donc les personnes qui les disent, et c’est pour cela que vous vous protégez et que vous mettez des limites.

* L’amour propre est aussi celui qui vous rappelle que vous méritez d’être valorisé pour ce que vous faites, pour ce que êtes et que ce n’est pas un acte d’égoïsmeCar qui met en lumière votre existence vous démontre qu’il vous aime, car donner de la valeur aux gens, c’est leur donner une position dans le monde, c’est les reconnaître et leur donner une voix, une présence, de l’appréciation.

Aimer et être aimé

Tout comme nous devons savoir quelles sont les limites que nous devons mettre dans notre vie pour empêcher que nos droits soient affectés, il est important de se souvenir que, tout comme nous demandons d’être aimé, valorisé et respecté, nous devons être capable d’offrir la même chose.

Il y a deux abîmes insurmontables dans le monde des émotions : le fait de ne pas être aimé quand on aime avec intensité et le fait de ne pas savoir aimer quand les autres nous aiment.

Il y a des personnes, dans la vie, qui ne savent que demander et élever le niveau de leurs exigences en permanence : être reconnu, être écouté, avoir la priorité sur les autres, être aimé au-delà de tout, au-delà même de la propre estime des personnes qui les entourent. Ce sont des personnes qui dévorent et qui détruisent.

* Si vous désirez que l’on vous aime, apprenez à aimer humblement, sincèrement et consciemmentOuvrez votre cœur mais aimez avec les yeux ouverts et non pas aveuglement. Donnez pour les autres mais attendez d’être aimé et reconnu en échange.

* Aimer et être aimé plus que tout est une valeur qui caractérise l’être humain : nous devons savoir aimer les nôtres et savoir recevoir de la tendresse et la valoriser.

* Aucun parent ne doit refuser une caresse à son enfant, et aucun conjoint ne comprend mieux une relation qu’à travers les gestes quotidiens qui construisent la tendresse, la passion et l’admiration.

* Aimer consciemment et de manière mature, c’est valoriser l’autre personne pour ce qu’elle est, c’est la reconnaître comme partie de notre vie, comme une pièce qui fait partie de notre puzzle émotionnel, vital et personnel.

Et sans aucun doute, nous méritons tous un amour qui nous offre de la joie et non pas de la tristesse, une tendresse sincère qui serre notre main et qui fait disparaître nos peurs et nos incertitudes.

Sarah Boucault dans nospensees.fr

Claire Relience - Somato-psychopédagogue, Auteure & thérapeute holistique en cabinet et en ligne
.
Pour COMMANDER MON LIVRE, cliquez sur l’image :

Couverture avec filet

S’ABONNER A ETINCELLE, ma News Letter mensuelle, cliquez sur l’image :

ETINCELLE4

*******************************

Cet article vous a été utile ? Il pourrait l’être pour d’autres et je vous remercie de le PARTAGER
***

Vous avez  besoin d’être accompagné ? Vous pouvez ME CONTACTER  au +216 55 66 40 73 ou (cliquez sur) :
Via Facebook  – Sur TelegramPar mail

 ***

Pour ÊTRE NOTIFIE à chaque nouvel article de ce blog, faites votre demande  ici

***

J’ai BESOIN de votre soutien : faire un DON (cliquez sur) : ma cagnotte Tipeee

 

Le lien qui nous unit – Témoignage de Thierry Janssen

5 juillet 2016

0 Commentaire

Thierry_Janssen2« Il y a quelques années, je me trouvais dans un avion au-dessus de l’Atlantique lorsqu’une ouverture de ma conscience m’a permis de faire le tour du monde en quelques secondes. Si, si, je vous l’assure, en quelques secondes !

Cette incroyable aventure commença lorsque le steward m’apporta un plateau-repas absolument banal et peu appétissant. Pourtant, j’avais faim. Je décidai donc de partir à la découverte de ce qui m’était proposé : poulet, carottes cuites, pommes de terre, trois rondelles de tomates, deux rondelles de concombre, un petit pot de sauce jaunâtre, un petit paquet de beurre, un morceau de pain, une part de gâteau aux pommes, un carré de chocolat, un verre rempli d’eau, un paquet contenant des couverts, une serviette entourée d’une bande de papier imprimé de jolis dessins, un cure-dents, le tout déposé sur un plateau bleu foncé recouvert d’une nappe en papier décorée de dessins semblables à ceux que j’avais remarqués sur le papier enroulé autour de la serviette.

L’air de ne pas y toucher, j’examinai de plus près le petit pot de sauce jaunâtre : « made in USA ». Le petit paquet de beurre : « fabriqué en France ». Sur l’emballage du carré de chocolat : « made in Belgium »…, un festin international. C’est alors que je décidai de m’amuser à deviner la provenance des différents ingrédients de ce repas aérien… Le poulet ? États-Unis ou Europe ? Et les tomates ? Et les concombres ?

D’un coup, je me surpris à imaginer les hommes et les femmes qui avaient participé à l’élaboration de mon repas. Les agriculteurs qui avaient cultivé les légumes, l’éleveur de poulets, le producteur des pommes du gâteau et le pâtissier qui l’avait préparé, le propriétaire de l’usine où avait été fabriqué le beurre, l’ouvrier qui avait suivi les étapes de sa fabrication, ceux qui avaient participé à l’élaboration de son emballage… Il devait bien y avoir, au moins, un bûcheron pour couper l’arbre dont provenait la pâte à papier, un dessinateur pour le graphisme sur le papier, un imprimeur et un emballeur. J’en oubliais certainement au passage. Et la nappe de mon plateau ? Il avait bien fallu un autre bûcheron, un autre dessinateur, un autre imprimeur. Et mon plateau ? « Made in Hong Kong », du plastique. Qui était intervenu dans la fabrication de cet objet ? Sans parler du cure-dents, des couverts, de la vaisselle, du verre d’eau…

Tant de gens étaient impliqués dans la préparation de mon repas, autant d’êtres humains que je ne connaissais pas et avec lesquels j’allais entrer en relation. Ils avaient tous une histoire, des croyances, des soucis, des peurs, des espoirs. Comme moi. Certains d’entre eux avaient posé leurs doigts sur les objets comestibles étalés devant mon regard émerveillé. Le médecin en moi imagina sur-le-champ qu’il était tout à fait possible que quelques cellules desquamées de la peau de l’un de ces inconnus se trouvent encore à la surface de l’un ou l’autre de ces aliments. C’était même plus que probable. J’allais donc manger un peu des protéines et même un peu du patrimoine génétique de quelqu’un que je ne connaissais pas et qui vivait quelque part entre Paris, Miami ou Hong Kong.

Soudain, la couleur rouge des tomates attira mon attention : bien sûr, j’oubliais l’essentiel, l’essence même de ce repas : les pommes et le pommier, le poulet et ses parents, les pommes de terre et la terre qui les avait nourries, les carottes, les tomates, les concombres, les arbres broyés dans la pâte à papier… Où étais-je ? Dans un champ ou dans un verger ? Au cœur d’une boulangerie industrielle ou bien dans le hangar où avait été entreposé mon plateau-repas avant d’être embarqué à bord de cet avion ? J’avais l’impression d’être au centre d’un immense réseau dont les mailles se ramifiaient à l’infini. Je fus pris de vertige.

Je me tournai, alors, vers mon voisin. Celui-ci mangeait de bon cœur. Avait-il seulement conscience de l’immense réseau qui le reliait, lui aussi, à des milliers d’hommes et de femmes, des arbres, des fruits et des animaux ? Je me surpris alors à imaginer que mon voisin – un blond aux cheveux rasés qui lisait le russe – se transformait en Palestinien et qu’une belle orange cultivée dans les vergers israéliens trônait sur notre plateau-repas… Quelques cellules desquamées de la peau de l’agriculteur israélien traînaient peut-être encore à la surface du fruit que mon voisin palestinien s’apprêtait à engloutir. Et si les fils de ces deux hommes s’étaient entre-tués quelque part à la frontière des territoires occupés… Qui sait, tout est possible avec l’imagination et vous constatez que je n’en manque pas, la vie non plus d’ailleurs. L’idée peut paraître macabre, sordide et de mauvais goût. Pourtant elle n’est pas impossible. La réalité dépasse parfois l’imagination.

Nous croire séparés des autres êtres vivants et en dehors du monde est pure folie. Si cette vérité est éternelle, elle est particulièrement palpable à notre époque où les avions traversent les océans en six heures.

J’avais faim, vous disais-je au début de mon récit. Eh bien, je crois que je n’ai jamais goûté de meilleur repas que celui que j’ai eu le privilège de consommer ce jour-là.

Depuis je veille à ne pas oublier l’importance des autres dans ma vie. J’essaie de manger dans la pleine conscience de ma relation au monde qui m’entoure : c’est le moins que je puisse faire pour honorer ces êtres humains, ces végétaux et ces animaux sans qui je n’existerais pas.

Quoi que nous puissions en dire, les besoins essentiels de l’être humain sont, avant tout, de l’amour et de la chaleur, de l’intimité et de la douceur.

L’être humain est un être de relations. L’isolement entrave son développement. Privé de rencontres affectives et de contacts, l’enfant n’accédera pas à cette parole dont nous sommes si fiers.

C’est en relation avec les autres que nous découvrons qui nous sommes : rappelez-vous le miroir et son piège.

De toute évidence, nous ne sommes pas faits pour la séparation. »

c46feff520813a432a86ce661e0968ecExtrait de « Vivre en paix » de Thierry Janssen

Claire Relience - Somato-psychopédagogue, Auteure & thérapeute holistique en cabinet et en ligne
.
Pour COMMANDER MON LIVRE, cliquez sur l’image :

Couverture avec filet

S’ABONNER A ETINCELLE, ma News Letter mensuelle, cliquez sur l’image :

ETINCELLE4

*******************************

Cet article vous a été utile ? Il pourrait l’être pour d’autres et je vous remercie de le PARTAGER
***

Vous avez  besoin d’être accompagné ? Vous pouvez ME CONTACTER  au +216 55 66 40 73 ou (cliquez sur) :
Via Facebook  – Sur TelegramPar mail

 ***

Pour ÊTRE NOTIFIE à chaque nouvel article de ce blog, faites votre demande  ici

***

J’ai BESOIN de votre soutien : faire un DON (cliquez sur) : ma cagnotte Tipeee

Relience, pour que le lien nous construise autrement

3 avril 2015

4 Commentaires

imagesCe blog est le fruit d’un cheminement personnel commencé à ma naissance (et très certainement avant) et qui s’est enrichi de toutes les nouvelles naissances à moi-même qui m’ont portée vers ce que je suis en cette seconde. Un blog qui réunit les liens de mes rencontres, de mes apprentissages, de mes découvertes, de mes expériences, de mes quêtes, de mes réflexions autour de la vie…

Un blog dans lequel je regroupe des documents, des vidéos, des audios, des articles, des extraits de livres, des témoignages, des expérimentations personnelles, des fiches conseils, des citations, des analyses autour de l’actualité et les messages que je canalise de la Conscience Universelle..… sur les thèmes du lien corps/esprit, la méditation, les sciences quantiques, les neurosciences, l’épigénétique, la santé globale, la bio-énergie, les pratiques énergétiques, les pratiques psycho-corporelles, la spiritualité, le développement personnel, la réalisation de soi,

Un blog qui me permets d’exprimer et de partager mon métier, ma philosophie, mes expériences, celles des autres, les messages que je reçois et « un peu » de mon coeur.

Un blog qui s’appelle CLAIRERELIENCE parce que pour moi le LIEN est essentiel à notre commune humanité : Il est ce mouvement de l’un vers l’autre ; il est ce fil de soi à soi ; il est cette énergie de nous vers le Plus Grand qui s’inscrit dans notre matière, notre incarnation, notre esprit, dans la vivence qui nous habite et qui nous entoure ; Il est l’ENERGIE de vie qui nous crée à chaque seconde, nous humains mais aussi toute intention de vie, de mouvement, d’existence présente, passée et à venir, tout ce que nous percevons ou ne percevons pas, tout ce que nous comprenons et tout ce que nous ne comprenons pas encore, tout ce qui est ; Il est la CREATION à l’état pur et tout ce que cela implique de possibles ; Et il est l’AMOUR sans lequel rien n’existerait.

.

Claire Relience - Somato-psychopédagogue, Auteure & thérapeute holistique en cabinet et en ligne
.
Pour COMMANDER MON LIVRE, cliquez sur l’image :

Couverture avec filet

S’ABONNER A ETINCELLE, ma News Letter mensuelle, cliquez sur l’image :

ETINCELLE4

*******************************

Cet article vous a été utile ? Il pourrait l’être pour d’autres et je vous remercie de le PARTAGER
***

Vous avez  besoin d’être accompagné ? Vous pouvez ME CONTACTER  au +216 55 66 40 73 ou (cliquez sur) :
Via Facebook  – Sur TelegramPar mail

 ***

Pour ÊTRE NOTIFIE à chaque nouvel article de ce blog, faites votre demande  ici

***

J’ai BESOIN de votre soutien : faire un DON (cliquez sur) : ma cagnotte Tipeee

Tpe : Echographie et grossesse |
Harmonieaunaturel |
Petitchevalpourungrandage |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Lamenageredemoinsde50ansmai...
| Rallyesantecitoyennete2015
| Cinéole