Afin de nous empêcher de prendre notre responsabilité envers nous-même et pouvoir enfin pleinement nous épanouir, notre ego a la fâcheuse habitude de nous placer dans de petites cases de croyances.
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Ces cases sont très souvent construites de victimisation. Car une victime perd son pouvoir créateur, sa souveraineté, son autonomie… elle ne fait plus que subir sans autre possibilité que se soumettre à ce qui lui paraît plus fort qu’elle. Son sentiment d’impuissance la place alors dans une posture de soumission inconsciemment consentie qui, le plus souvent, lui gâche la vie. Cette posture la place ainsi dans une aliénation à la tyrannie de son ego qui ne peut exister sans cette implicite acceptation de sa domination sur sa vie mentale et par voie de conséquence, sur sa vie tout court. Pour approfondir le sujet de l’ego, c’est ici.
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La posture de victime qui nous met dans la petite case de « je suis hypersensible et donc je me sens souvent envahie de mal-être », « je suis pauvre et je ne peux profiter de rien », « je suis trop dans le mental et ça m’empêche de profiter du présent », « je suis trop grosse pour… », « je suis trop maigre pour… », nous place dans une prison d’impuissance et de soumission mentale à nos croyances, qui à force de ressassement, viennent s’inscrire dans notre expérience de vie. Car la pensée et la vibration qu’elle déclenche sont créatrices de notre réalité et de posture mentalisée de victime nous créons des situations qui se matérialisent dans notre réalité, venant ainsi encore renforcer nos croyances… Cercle vicieux de pensées/vécus.
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Toutes les identifications aux caractéristiques mentales, physiques ou environnementales qui peuvent nous mettre dans l’inconfort, les « Je suis… », lorsqu’elles s’inscrivent régulièrement dans notre mode de pensée, sont autant de poisons qui nous mènent à vivre l’inverse de ce qui nous ferait du bien.
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Alors oui, être hypersensible peut-être parfois inconfortable si l’on ne sait pas utiliser ce pouvoir pour capter et utiliser la subtilité d’une information que d’autres n’ont pas la chance de capter ;
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Oui, ne pas avoir beaucoup d’argent peut être un frein si l’on ne sait pas saisir cette opportunité pour déployer notre imagination et notre créativité pour développer notre abondance ou sortir d’un système qui ne nous convient pas ;
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Oui, avoir 100 pensées à la minute peut être envahissant, fatiguant, déstabilisant si l’on ne sait pas juguler et diriger ce pouvoir créateur puissant. Pour plus de détail sur le sujet, c’est ici ;
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Oui, être trop gros ou trop maigre peut être un problème lorsque l’on n’utilise pas cette spécificité comme point de départ de compréhension de nous-même.
Tout ce que nous portons, tout ce que nous vivons peut être transformé, peut être dirigé vers le meilleur ou vers le pire. Nous portons en nous toutes les ressources pour voir puis pour créer le meilleur à partir de chacune des caractéristiques singulières qui nous habitent.
Ainsi ce que nous jugeons comme défauts, tares, lourdeur, obstacle, peut, lorsque nous sortons de notre posture de victime soumise à la fatalité, se transformer en de formidables points d’appui de déploiement et de réalisation. Juste une question de conscience, de choix et d’amour pour soi.
Si vous désirez entrer dans cette démarche là, je peux vous y accompagner.
Claire Relience - Somato-psychopédagogue, Auteure & thérapeute holistique en cabinet et en ligne
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22 août 2024 à 21:58
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