L’empathie cette forme de sixième sens tourné vers la compréhension et le respect de l’autre et de soi-même est un incontournable dans beaucoup de domaines : éducation, santé, spiritualité, développement personnel, vie sociale, rapports humains, sécurité…
Qu’est-ce que l’empathie ?
L’empathie, selon la définition du célèbre Wikipédia « est une notion désignant la compréhension des sentiments et des émotions d’un autre individu, voire, dans un sens plus général, de ses états non-émotionnels, comme ses croyances….
En langage courant, ce phénomène est souvent rendu par l’expression « se mettre à la place de l’autre ».
Les recherches récentes ont amené à distinguer le concept d’empathie émotionnelle qui désigne la capacité à comprendre les états affectifs d’autrui, et le concept d’empathie cognitive, c’est-à-dire la capacité à comprendre les états mentaux d’autrui… ».
Ce que je souhaite rajouter à cette définition, c’est que l’empathie émotionnelle qui s’appuie sur nos propres émotions dans notre relation avec l’extérieur, est sous l’influence de notre sensibilité et de nos vécus antérieurs et les croyances qui nous ont été inculquées depuis notre naissance… Elle est loin d’être objective et peut mener à beaucoup de souffrance, nous le verrons plus loin…
L’empathie cognitive quand à elle, également appelée compassion, appuyée sur une prise de recul par rapport à nos propres émotions face à la souffrance d’autrui, permet des actions plus réfléchies dans l’aide que nous pouvons être amenés à apporter à autrui.
Lorsque l’empathie émotionnelle nous fait souffrir avec l’autre, minimisant ainsi notre capacité à aider autrui, l’empathie cognitive nous permet de donner le meilleur de nous-même.
Vous l’aurez compris, l’empathie est un état incontournable à nos relations humaines. D’elle et de notre capacité à l’éprouver, dépendent nos bonnes relations, notre compréhension harmonieuse du monde et notre manière plus ou moins profitable d’y participer.
Car sans empathie, nous sommes coupés d’une partie de notre intelligence relationnelle et de notre intelligence tout court et nous mettons en danger notre survie… et celle d’autrui.
Mais, car il y a un mais, l’empathie lorsqu’elle ne s’appuie pas sur un respect total de soi, lorsqu’elle est manipulée par des croyances erronées liées à notre passé, lorsqu’elle est manipulée par des personnes ou structures non empathiques, peut devenir un piège destructeur.
Quand l’empathie nous fait perdre de vue nos besoins fondamentaux
C’est là que l’empathie peut devenir dangereuse.
L’empathie, si elle n’est pas assortie d’une mise à distance cognitive adaptée (intelligence mentale libérée de l’émotion et c’est là qu’on peut parler d’intelligence émotionnelle. Pour en savoir plus sur l’intelligence émotionnelle c’est ici), peut devenir source non seulement d’une grande souffrance mais aussi d’une mise en danger de soi et d’autrui.
La mise en danger provient en général du fait qu’on est tellement tourné vers autrui et qu’on a tellement envie d’aider ou de protéger l’autre qu’on finit par perdre de vue nos besoins fondamentaux : le repos, le sommeil, du temps pour se ressourcer et faire des activités nécessaires à notre équilibre, se nourrir de manière équilibrée, protéger sa propre sécurité… Bref, on oublie de s’offrir à nous-même l’empathie que l’on offre à l’autre. C’est alors qu’on se perd et qu’on met notre santé physique et/ou psychologique en danger.
L’empathie face à la manipulation perverse
Et là ou ça devient encore plus dangereux, c’est quand on a en face de nous des personnes perverses, manipulatrices, tournées uniquement vers leurs propres intérêts… Des intérêts qui vont le plus souvent totalement à l’encontre des besoins fondamentaux d’autrui.
L’exemple de la crise Covid
Je tiens à souligner que le fonctionnement pervers n’est pas seulement l’apanage d’individus isolés. Il peut également être présent sur le plan collectif lorsque certaines personnes hautement perverses introduisent leur mode de fonctionnement dans une structure professionnelle, sociale, gouvernementale, mondiale… Je tiens également à préciser que l’un des levier de contrôle des personnalités perverses directement relié à notre fonctionnement naturel d’empathie, est la culpabilisation et la peur de mettre en danger autrui par nos actions « inappropriées » ou « égoïstes »… Les injonctions contradictoires (dire tout et son contraire) qui mènent à la perte de repères et à la confusion mentale, font également partie de la panoplie d’outils de manipulation perverse et elles ont très largement été utilisées par nos états et les instances dirigeantes mondiales (OMS) depuis le début de cette crise.
Pour ce qui est de l’outil empathie manipulée, rabâcher à longueur de journées que si nous ne mettons pas de masque, si nous ne nous vaccinons pas, si nous ne respectons pas les règles de distanciation, si nous ne nous lavons pas les mains 18 fois par jours, si nous ne restons pas enfermés chez nous, si nous voyons, embrassons, câlinons les personnes que nous aimons… on les met en danger, on risque de les tuer, est un comportement manipulatoire et pervers car il s’appuie sur notre amour naturel d’autrui relié à la peur et la culpabilisation de le mettre en danger si nous n’obéissons pas à leurs directives.
Pourquoi pervers me direz-vous ? Si ces injonctions culpabilisantes qui s’appuient sur notre peur de faire souffrir ou de tuer autrui ne peuvent pas être appuyées sur une vérité visible, une expérimentation personnelle, la validation concrète de vos sens quand aux raisons qui induisent ces mises en garde, il y a manipulation perverse. Et même sans aller aussi loin, dès lors qu’une proposition extérieure vous place dans la culpabilité, il y a fort à parier que la manière de faire n’est pas saine.
Lorsque nos perceptions ont besoin d’être appuyées par une médiatisation à outrance ; lorsque toute l’information d’un événement qui devrait être extrêmement et concrètement bien visible si l’on en croit le catastrophisme répété des médias, passe par ces mêmes médias et que l’on ne constate rien de nos propres yeux, il est important de prendre du recul et de se poser des questions, de chercher d’où vient l’incohérence entre ce que nos sens perçoivent réellement et ce que l’on veut nous faire croire…
Avez vous vu de vos propres yeux des gens mourir dans la rue ? Des hôpitaux bondées de personnes malades du Covid ? Plusieurs proches mourir du Covid ? Et si c’est le cas sont elles véritablement mortes du Covid ou étaient elles très âgées et/ou atteintes de pathologies lourdes ou multiples (étiquetées Covid et non mortes DU Covid – et je vous rappelle à ce propos que les instructions de l’OMS étaient d’étiqueter « Covid » toute personne même suspectée d’être morte du Covid, c’est dire le flou total des chiffres de la mortalité dû au Covid) ? Parce-ce qu’une pandémie, car c’est le mot qui a été utilisé, c’est tout ce que je viens de citer et c’est très visible… pas seulement à la télé… Une image est tellement facile à sortir de son contexte ou à manipuler… un témoignage également surtout lorsqu’il joue sur l’émotionnel, la grande spécialité des médias…
Fonder ses croyances uniquement sur ce qu’on voit sur un écran ou ce qu’on lit, fausse notre perception de la réalité et peut induire un comportement et des choix nuisibles à notre équilibre, à notre santé, à notre vie (Le cerveau au bout d’un moment ne fait plus la différence entre réalité vécue et vue sur un écran)… C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui… Les conséquences économiques, sociales et sanitaires induites par cette crise dite sanitaire sont bien plus délétères que le virus lui-même. Et lorsqu’on se penche un peu sur la réalité des chiffres et la manière dont ils ont été obtenu, la manière dont ils nous sont présentés, sur la réalité de la dangerosité réelle de ce virus et de tant d’autres choses, on peut commencer à douter sérieusement de ce que nous racontent les médias mainstreams ainsi que nos états.
Lorsqu’on nous demande de nous vacciner avec un produit totalement nouveau et expérimental en appuyant cette « demande » sur la menace de ne plus pouvoir rien faire sans la preuve de cette vaccination et la culpabilisation et la peur à mettre la vie d’autrui en danger si nous ne le faisons pas… Le moins que l’on puisse dire c’est que notre libre arbitre est très largement sous influence… Il est alors important de ce demander si cette manière de faire est saine ou pas… Si le rapport bénéfice/risque penche du bon côté… Si vous êtes prêt à mettre en danger votre santé, votre vie, pour « sauver » autrui, ou pour regagner le droit d’aller au resto… Si vous êtes prêt à remettre votre vie dans les mains des personnes qui vous le demandent… Peut-être est-il également utile de se demander, si ces personnes sont aussi honnêtes, compétentes, informées, bienveillantes… qu’elles le prétendent…
Pour conclure, je dirais que l’empathie est un magnifique outil de relation à autrui, un outil même indispensable à notre humanité, pourvu qu’elle soit assortie d’une bonne dose d’auto-empathie préalable à toute prise de décision dont les conséquences peuvent avoir impact non négligeable sur notre santé, notre avenir, notre vie.
Si vous désirez des solutions pour vous permettre de prendre du recul par rapport à votre fonctionnement empathique, c’est dans cet article
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4 février 2021
Neurosciences & psychologie